A la cour de Guillaume Ier

Après avoir quitté les appartements de Guillaume Ier, notre vénérable hôte, le philosophe inconnu et moi-même avons raccompagné cette chère et redoutable Renée, qui se prenait pour une toupie, chez elle. Ce ne fut pas sans rencontres audacieuses. En effet, contrairement aux idées reçues, Namur n'est pas morte lorsque le soleil se lève (se couche pour certains après une soirée de mélanges alcoolisés et terriblement douteux ) Nous avons rencontré trois types charmants (dont un plus particulièrement ) qui nous ont gentillement tenu compagnie pendant toute une partie du trajet . La route n'est-elle pas un chronotope, n'est-elle pas le lieu où peut advenir la soudaineté, le lieu où toutes les rencontres sont possibles ? Que d'aventures, mes amis!

Sur ce, je m'en vais dans les plumes.

A mardi, et vive Toad !

Burp.





No comment.

Renée, (pas si) humiliée (que ça).

Jean-Paul a écrit:

Ah, le virtuel n'a pas que de mauvais côtés.

Qu'en penses-tu, Mario, gros dégoutant ?